
đ TITRE
LE MACCHABĂE GIVRĂ, Ă SERVIR BIEN FRAIS
đ ĂCRIT PAR
CATHERINE SECQ
đ ĂDITION
AUTO-ĂDITION
đ REMERCIEMENTS
Merci Ă lâauteure Catherine Secq pour cette dĂ©couverte policiĂšre qui a su mâembarquer dans mes souvenirs adolescents, Ă cette Ă©poque oĂč je passais des heures devant la tĂ©lĂ© Ă regarder lâinspecteur Barnaby et autres dĂ©tectives au flegme sans pareille que jâai retrouvĂ© chez la commissaire et son humour dĂ©calĂ©, mais lĂ©ger.
đ RĂSUMĂ DE LâAUTEUR
Lorsque lâun des bijoutiers de la cĂ©lĂšbre place VendĂŽme Ă Paris reçoit un cadavre en guise de dĂ©coration de NoĂ«l, tout le monde trouve la plaisanterie de trĂšs mauvais goĂ»t. Qui est cet homme ligotĂ© et recouvert de givre blanc ? Pourquoi lâavoir fait livrer dans cette boutique parisienne si chic ? Est-ce un acte de malveillance, de vengeance, de jalousie ?
En tant que commissaire de police, je suis rompue aux crimes les plus sordides, mais je nâapprĂ©cie guĂšre cette idĂ©e farfelue qui risque de compromettre les fĂȘtes que jâai hĂąte de partager avec ma fille et ma petite fille. Si je veux rĂ©soudre cette affaire avant le 25 dĂ©cembre, je dois mettre les bouchĂ©es doubles et mobiliser mon Ă©quipe. Apparemment, le meurtre se situe au pays des Ă©picĂ©as, quelque part entre le Danemark et le Morvan. Câest ce qui sâappelle « chercher une aiguille dans une forĂȘt de sapins⊠»
âïžL’HISTOIRE
NoĂ«l ! Une pĂ©riode magique oĂč les boutiques, petites ou grandes mettent le paquet pour briller de mille feux et attirer la clientĂšle.
Câest Ă cela que pensait Charles Philibert en se faisant livrer des sapins dâexceptions pour sa bijouterie situĂ©e place VendĂŽme. Quelle surprise quand son employĂ© ouvre les caisses et dĂ©couvre au cĆur du plus grand des sapins, un cadavre givrĂ© !
La commissaire Bombardier est mise sur lâenquĂȘte, qui a bien pu tuer cet homme et pourquoi lâenvoyer Ă Charles Philibert ?
Du Morvan a envers, elle mettra tout en Ćuvre pour rapidement clore cette affaire et rejoindre sa famille pour NoĂ«l.
đ LES PLUS
Ce fut vraiment une lecture agrĂ©able. Le genre policier nâest pas mon genre de prĂ©dilection, leur prĂ©fĂ©rant les thrillers qui ont plus de tension et de suspens. Mais le rĂ©sumĂ©, la couverture mâont vraiment attirĂ©, jâimaginais merveilleusement un ton lĂ©ger et je ne fus pas déçue vu quâau final, je suis rĂ©conciliĂ© avec ce genre grĂące Ă ma lecture.
Les chapitres sont courts et lâĂ©criture trĂšs fluide, on passe dâune scĂšne Ă une autre sans dĂ©paysement.
Le ton et lâhumour y sont bel et bien prĂ©sents, jâai adorĂ© ce cĂŽtĂ© terre Ă terre et cet humour maitrisĂ© que nous pouvons rencontrer au quotidien. Rien nâest en trop, ce nâest jamais exagĂ©rĂ© et lâeffet immersif est garanti.
Allez savoir pourquoi, mais Ă la lecture des chapitres, je me suis revue durant ma jeunesse (oui, je ne suis pas si vieille, je sais) oĂč jâĂ©tais accro Ă lâinspecteur Barnaby, jâaimais ces enquĂȘtes lĂ©gĂšres, rĂ©alistes dans un sens oĂč on nâen fait pas trop.
De plus, tout colle ! Certes, je ne suis pas une experte du 36 quai des orfĂšvres ou des enquĂȘtes menĂ©es en France (ou mĂȘme ailleurs), mais tout cela semble si rĂ©aliste et plausible ! On est jamais dans la surenchĂšre et jâadore cela, jâai lâimpression de vivre lâenquĂȘte avec la commissaire.
Pour finir, ce qui est un plus mais aussi un moins, on est dans lâenquĂȘte, il y a peu de fioritures autour de celle-ci, juste assez pour capturer lâessence des personnages et leurs caractĂšres.
đ LES MOINS
VoilĂ le moins, câest ce cĂŽtĂ© trop enquĂȘte. Comme dit ci-dessus, câest un plus et un moins, aprĂšs cela restera une question de goĂ»t je pense, mais il est vrai que jâaurais voulu un peu plus dâĂ©lĂ©ments personnels autour de la commissaire pour mâattacher complĂštement Ă ce personnage que jâai cĂŽtoyĂ© lors de ma lecture.
âïž CONCLUSION
Un Coup de CĆur auquel je ne mâattendais pas du tout. Je pensais une lecture agrĂ©able et au final, jâai obtenu une rĂ©conciliation avec le genre policier.
đ INFORMATIONS
Genre : Policier
Nombre de Pages :
294
Prix :
NumĂ©rique : 3,99âŹ
BrochĂ© : 14,90âŹ
đ BIBLIOGRAPHIE
Le macchabée givré, à servir bien frais: Une affaire pour la commissaire Bombardier
Ne jetez pas les morts au compost
đ LIENS
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Lien FB compte de lâAuteur :
JâapprĂ©cie cette belle chronique qui reflĂšte bien lâatmosphĂšre de lâhistoire. Merci Lily !
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Avec grand plaisir !!!
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