#374 LA LIGNE DU TEMPS DE VALENTIN STEINMETZ

 

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𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 1

 𝑨𝒖𝒕𝒆𝒖𝒓 : Valentin Steinmetz

𝑬́𝒅𝒊𝒕𝒆𝒖𝒓: Independently published (10 novembre 2023)

𝑵𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒈𝒆𝒔 : 190 pages  

𝑴𝒐𝒕𝒔-𝒄𝒍𝒆́𝒔 : #sf #sciencefiction #science-fiction #romance #suspens  

ℙℝ𝔼́𝕊𝔼ℕ𝕋𝔸𝕋𝕀𝕆ℕ 𝔻𝔼 𝕃’𝔼́𝔻𝕀𝕋𝔼𝕌ℝ 

« 𝑀𝑖𝑠𝑠 𝑊𝑎𝑙𝑑 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑐𝑒̀𝑛𝑒, 𝑚𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒́𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑎𝑦𝑜𝑛𝑛𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑚𝑒́𝑟𝑎𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑎𝑟𝑑𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒́𝑙𝑒́𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑 𝑙’𝑎𝑛𝑡𝑒𝑛𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑢𝑠𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑑’𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡 𝑚𝑒𝑛𝑒́ 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒. 𝐼𝑙 𝑓𝑢𝑡 𝑢𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑎𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑡𝑒, 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑏𝑒𝑟𝑡𝑒́. 𝐸𝑛 𝑐𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑛 2142, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑓𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’ℎ𝑢𝑚𝑎𝑛𝑖𝑡𝑒́. 𝑉𝑜𝑡𝑒́𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙’𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒𝑡𝑒́ 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑛𝑒 !

𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒. 𝐿𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑢𝑠𝑐𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑖𝑚𝑝𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐷𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑒𝑧 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙’𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑐 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑣𝑖𝑒 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑖𝑎𝑛𝑡𝑒. 𝐿𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑐𝑜𝑛 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑙, 𝑣𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝑖𝑑𝑒́𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑐̧𝑢𝑒𝑠, 𝑑𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑣𝑟𝑖𝑟𝑎-𝑡-𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑜𝑢, 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑖𝑛𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒́ ? »

*𝑪𝒆 𝒓𝒐𝒎𝒂𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆́ 𝒂̀ 𝒖𝒏 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒄 𝒂𝒗𝒆𝒓𝒕𝒊. 𝑰𝒍 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒖 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒖 𝒆𝒙𝒑𝒍𝒊𝒄𝒊𝒕𝒆, 𝒅𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒔𝒖𝒍𝒕𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒖𝒔𝒄𝒆𝒑𝒕𝒊𝒃𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒒𝒖𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒋𝒆𝒖𝒏𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔. 𝑴𝒆𝒓𝒄𝒊 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒗𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒓𝒆́𝒉𝒆𝒏𝒔𝒊𝒐𝒏.*

𝕄𝕆ℕ 𝔸𝕍𝕀𝕊

𝓒𝔢 𝔮𝔲𝔢 𝔧’𝔞𝔦 𝔞𝔦𝔪𝔢́

➕ Le format, je trouve le livre petit et qui se prend bien en main

➕ La couverture est superbe

➕ Un univers matriarcale bien dessiné et historiquement bien expliqué

➕ Le système de travail communautaire

𝓒𝔢 𝔮𝔲𝔢 𝔧’𝔞𝔦 𝔪𝔬𝔦𝔫𝔰 𝔞𝔦𝔪𝔢́

➖ La fin

➖ Ce saut de mouton dans les chapitres entre Miss Wald et Amadine

➖Les hommes (on va vraiment les haïr avec cette fin)

𝓒𝔬𝔫𝔠𝔩𝔲𝔰𝔦𝔬𝔫 

Alors, alors, alors, On suit deux protagonistes, Miss Wald, Reporter qui réussi au sein de cette société matriarcale avec son parfait petit ami et Amandine, jeune étudiante angoissée dans cette société qui va reprendre goût à la liberté grâce à un jeune homme.  Tout au long de l’histoire je me suis demandée où ça allait aller… Miss Wald va dépeindre la société dans son côté politique, montrant aussi que les hommes (tels que son compagnon) sont prêts à accepter cette société qui les domine et veulent même la protéger. Amandine elle va dépeindre la crainte qui est née au sein de cette société qui semble pourtant parfaite, la peur de sortir, des agressions de ses hommes qui sont dépeints comme brutaux, mais elle va réaliser que tous ne semblent pas ce qu’elle imaginait et elle va sortir de plus en plus de son studio pour aller à l’université, et surtout pour passer du temps avec Diego. J’ai aimé cette société, les décisions mises en places pour l’environnement ont du sens, même si elles ne sont pas parfaites, j’ai adoré le concept d’autosuffisance des immeubles, avec un magasin pour trouver ce que les habitants ne peuvent produire et pour les fruits et légumes un système d’heures communautaire contre des produits gratuits. J’ai eu du mal à voir par contre où ce parallèle entre Miss Wald et Amandine allait nous mener et sur la fin, je me pose encore la question. En résumé, j’ai aimé le système mis en place, que le système « parfait » mis en place présente des failles et des révoltes (comme tout système), je crois que c’est plus l’univers qui m’a plu que les deux histoires en elles-mêmes.   

𝕄𝕆ℕ ℙ𝔼ℝ𝕊𝕆ℕℕ𝔸𝔾𝔼 ℙℝ𝔼𝔽𝔼ℝ𝔼

Amandine

Je me suis plus reconnue dans ce personnage. Elle est effrayée au début, elle a peur des hommes, puis commence à faire confiance pour déchanter par la suite. La fin de son histoire par contre est à glacer le sang. 𝔼𝕏𝕋ℝ𝔸𝕀𝕋   

Elle se retourne pour voir où elle marche pour ne pas trébucher. Quelque chose vibre au- dessus d’elle, la curiosité la guette. Elle tourne sa tête une nouvelle fois sans s’arrêter et lève les yeux au ciel. Elle est surprise par un géant du ciel s’approchant dangereusement de la cime des immeubles. Cette énorme dirigeable cargo de l’entreprise Murray, spécialisée dans la livraison à domicile de marchandises pour particuliers et professionnels, perd de l’altitude et se dirige droit vers le sommet des immeubles de la rue où se trouve Amandine. Elle fait mine de trébucher sur la route et se retrouve au milieu de celle-ci en retrouvant son équilibre. Les vrombissements de cette masse volante deviennent de plus en plus audibles. Amandine ne doit pas rester là. Dans l’obscurité créée par le dirigeable, elle se met à courir le plus rapidement possible vers sa résidence. Elle l’entend se rapprocher, des bruits de gravats et de verre brisé se font entendre trente mètres au- dessus des oreilles d’Amandine, le dirigeable commence à frotter les toits des immeubles. Des matériaux et des débris de dirigeable commencent à tomber du haut des 15 à 20 étages qui les séparent de la route. Ils viennent se fracasser en plusieurs milliers d’éclats une fois touché le sol. En emportant tout avec lui, le géant du ciel créé un énorme nuage de poussière qui descend petit à petit dans la rue. Amandine arrive devant sa résidence, se jette contre la porte et continue sa course au fond du couloir, loin des portes en verre de sa résidence.

Un commentaire

  1. Ce premier chapitre n’est pas si loin de la réalité, j’ai aimé votre style, la chronologie des actions et ce clin d’œil des nouvelles technologies respectueuses de l’environnement.
    J’ai hâte de connaître la suite pour Léna (face noire de son petit ami?) Amandine et Abigaelle… jusqu’à quelle limite allez-vous pousser cette dystopie?
    Ce qui est dommage, ces sont les erreurs de syntaxe et les fautes d’orthographe.
    Aurélie, 42 ans, fervente lectrice de thrillers et fantastiques.

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