#357 ANNA CARITAS : LE SACRILEGE

ANNA CARITAS T01: LE SACRILEGE

ANNA CARITAS T01: LE SACRILEGE

Auteurs :

 Patrick Isabelle 

Éditeur ‎:  ‎ Kennes Editions (2 janvier 2019)

Nombre de pages : 336

Numérique :10 ,99€

Broché : à partir de 4.95 € (offre découverte)

Mots-clés :   #HORREUR #FANTASTIQUE #possession #surnaturel #ados #école #morts #ouija

PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR

Le retour de Marianne Roberts au prestigieux collège Anna Caritas semble avoir enclenché une série d’événements bizarres dans la petite ville de Saint-Hector. William Walker n’a jamais cru à ce genre de phénomènes. Pourtant, lorsque lui et ses amis décident d’interroger l’au-delà, ils réveillent quelque chose d’étrange dans la maison de Sabrina Viau, et bientôt, cette force surnaturelle semble s’attaquer à eux sans répit. Forcé d’admettre son impuissance face à l’ennemi invisible, William, accompagné de ses fidèles complices Anthony et Gabrielle, n’aura pas d’autre choix que de se tourner vers celle qu’il essayait d’éviter à tout prix: Marianne.

MON AVIS

Anna Caritas, le nom du collège où étudient William, Anthony, Gabrielle, Sabrina, Maddox, Sarah et Laurie. Le retour après 3 ans de Marianne, une jeune fille hors norme pour cette petite ville qu’est Saint-Hector (surtout après le drame survenu ayant causé son départ), n’augure rien de bon et c’est après un séance de spiritisme amateur que nos amis vont devoir faire appel à cette dernière pour tenter de stopper ce qu’ils ont réveillé.

Je suis sous le charme ! Pour faire simple j’ai ouvert le livre vers 20h du soir et je ne l’ai fermé qu’à 1h du matin, terminant les dernières pages à la lumière d’une petite pour ne pas réveiller mon petit monstre.

L’histoire est prenante, les temps de pauses sont courts et le surnaturel reprend vite le dessus. J’ai flippé ? Oui, ce n’est pas effrayant et en même temps, j’étais tant prise dans ma lecture que j’ai ressenti en même temps que ces ados leurs terreurs, leurs peurs, leurs angoisses et ayant un plan de vu plus large qu’eux, je peux également commencer à m’inquiéter de la suite, car suite il y aura vu que cette série comporte 5 tomes.

Le bémol, l’introduction ne m’a pas vraiment plus, la description de la ville et de son ‘’histoire’’ m’a un peu assommée, même si je comprends maintenant pourquoi elle était présente de cette façon, c’est un moyen de dire eh oh c’est parfait ? Non y’a une grosse anguille sous la roche prête à se réveiller et vous bouffer tout cru, maintenant la nature de cette anguille reste encore un mystère que j’ai hâte d’éclaircir dans les prochains tomes.

Bon par contre, j’avoue que le prix pique. Autant ce premier tome, l’ayant pris en offre découverte reste plus que raisonnable pour un beau broché comportant quelques illustrations, autant les prochains bah le numérique surtout je trouve que 10,99pour un numérique c’est beaucoup ! Néanmoins, le prix raisonnable de 14,90€ pour le broché va me convaincre de m’offrir les suites.

EXTRAIT

Je côtoyais Sabrina Viau depuis plus d’un an, mais j’avais du mal à la reconnaître. Je savais que c’était elle, mais quelque chose avait changé. Elle n’avait plus rien de la Sabrina m’étais amusé à détester. Elle avait beaucoup maigri en une que je semaine. Je la soupçonnais de ne rien avaler. Avec nous, du moins, elle prétendait n’avoir jamais faim.

Dans un élan de colère, elle avait coupé ses cheveux durant le week-end avant son retour à l’école. Ses longs cheveux blond cendré et ondulés qu’elle laissait retomber sur ses épaules n’existaient plus. Ils avaient été grossièrement coupés à la hauteur de son cou et s’éparpillaient devant son visage, raides et épars. À cette longueur, le blond tirait plus sur le châtain, presque brun. Je n’aurais su dire si elle y avait appliqué un quelconque produit ou si elle ne se les était tout simplement pas lavés depuis des jours, mais avec ses cheveux en bataille, elle était méconnaissable.

Je n’avais jamais vu Sabrina au naturel. Ce n’était pas le genre de fille à se maquiller à outrance, mais elle s’appliquait toujours un peu de baume sur les lèvres, un peu de mascara noir. Un peu de fond de teint aussi, j’imagine, parce que je n’avais jamais remarqué les plaques rouges sur ses joues, un début d’acné, peut-être. Elle ne se maquillait plus. Elle avait, semble-t-il, décidé de porter ses blessures avec assurance, se moquant bien des commentaires des autres.

LIENS

La maison d’édition :

https://kenneseditions.com/product/anna-caritas-t01-le-sacrilege/

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